Je ne vais pas vous souhaiter tous mes vœux de santé, de bonheur ou bien de prospérité pour cette nouvelle année. Je ne vais pas le faire, car je sais pertinemment que mes vœux ne seront atteints que de manière partielle. Si j’en avais le pouvoir, je plongerais l’humanité tout entière dans le bonheur qui

Que notre jeunesse est belle. Certes, ils ne font pas souvent la une des médias, mais ils sont là. À force d’être submergés par des informations plus noires les unes que les autres, nous avons fini par les oublier. Leur discrétion, leur engagement, leur vision du monde ne doivent être perçus que comme une source

Le pire fléau pour l’homme est lui-même. C’est la soif de pouvoir qui pousse des dirigeants de pays à jeter en pâture sur des champs de bataille des militaires qui trop nombreux périront.En ce jour de commémoration de l’armistice de la Grande Guerre, qu’avons-nous appris ?Rien, sinon à rendre hommage année après année à tous ceux

La grande route de la vie est pleine de malice et nous conduit sur des routes cabossées et d’autres bien plus planes et droites. Nous aimerions tous pouvoir emprunter que des routes emplies de bonheur de joie et de réussite en tout genre, mais comme chacun le sait, ce monde qui pourrait sembler merveilleux n’existe

3 novembre – journée mondiale de la gentillesse La gentillesse avance seule dans la vie, elle ne cherche ni la lumière ou les remerciements. La gentillesse est en chacun de nous et peut se répandre sans compter. Certains pensent qu’être trop gentil est un marqueur de faiblesse, mais il n’en est rien, car la vraie

Nous sommes aujourd’hui dans un monde où le champ des possibles en matière de catastrophes n’a jamais été aussi large. Il ne s’agit pas là d’une posture alarmiste, mais d’une bien triste réalité aussi effrayante que palpable. Je suis effrayé par notre incapacité collective à regarder le monde tel qu’il est aujourd’hui, un monde empreint

Quel est le prix d’une vie, voilà une question qui ne peut qu’engendrer une véritable agitation neuronale de bon matin. Une vie a-t-elle un prix, selon que l’on est jeune caporal, policier, spectateur d’un concert ou sans statut particulier ? Doit-il exister des circonstances atténuantes permettant que le prix à payer pour avoir ôté une vie