Le chaos

Dire que la crise que nous connaissons aujourd’hui laissera des traces est un doux euphémisme. Toutefois, les masques de ceux qui rêvaient de ce type d’insurrection sont tombés. Ces pompiers pyromanes qui scandent la « Police tue » et accusent la police de tous les maux de la société jubilent plus ou moins silencieusement. Mais, qu’ils se

Jean Jacques Richard

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D’autres voies

Je pourrais faire une autre article sur ces voyous qui saccagent la France depuis quelques jours, mais je ne vais pas le faire. J’entends ceux qui parlent de la pauvreté dans ces quartiers, laissant penser que ces jeunes n’ont pas d’autres voies que la violence pour exister. Je n’ai pas grandi dans ces quartiers, mais

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Violences urbaines

Les images de ces derniers jours sont tout simplement glaçantes : des commissariats de police et des casernes de gendarmeries attaquées, des commerces pillées, des symboles de la République saccagés… Dans les faits, le chaos ne peut avoir d’autre visage que ce que vit la France depuis quelques jours. Hélas, le constat est dramatique, car aujourd’hui

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Du rapport Peyrefitte à aujourd’hui

En juillet 1977, l’introduction du rapport Peyrefitte débute ainsi : « Longtemps tenue en marge, la violence s’est installée au coeur de la Cité. Pas encore en maîtresse – mais ce temps peut venir. Si rien n’est fait pour répondre à l’interpellation qu’elle nous adresse, ce temps viendra sans doute… » Ce rapport a été suivi d’autres rapports, de mesures,

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Une histoire sans fin…

En juillet 1977, Alain Peyrefitte, Robert Schmelck et Roger Dumoulin remettaient à la Présidence de la République un rapport intitulé « Réponses à la violence ». Juin 2023, Les réponses à la violence ne semblent pas avoir été trouvées pour l’instant. Introduction du rapport PeyrefitteLongtemps tenue en marge, la violence s’est installée au coeur de la Cité.

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Attention Tsunami

Pourquoi sommes-nous submergés par la violence ? Parce que les politiques font de la politique. Parce que l’éducation n’a jamais été réellement au centre de nos préoccupations. Parce que les forces de l’ordre ne font que « courir après le train » depuis des dizaines d’années maintenant. Parce que nous n’avons pas les moyens de nos ambitions en

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Nous protéger

Je trouve cette photo de François Lerate magnifique et tellement inspirante. Derrière ces uniformes et ces deux grandes institutions que sont la police et la gendarmerie nationale, il y a des femmes et des hommes qui ont fait un choix de carrière : le choix de nous protéger. Ils sont mère et père de famille, fille et fils

Jean Jacques Richard

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Pourquoi détestent-t-ils la police ?

Il y a deux grandes catégories de la population qui détestent la police.  La première est celle des voyous en tout genre et cette catégorie déteste la police, car elle constitue tout simplement un obstacle à leurs activités délictuelles et/ou criminelles. La seconde catégorie est celle des révolutionnaires de tout poil, lesquels ont une aversion

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Peut-on venir à bout des black bloc ?

La réponse à cette question est sans aucun doute affirmative. Mais avant tout, il est primordial de répondre aux questions suivantes : Le droit de manifester est un droit inaliénable, mais il est plus que jamais important que certains comprennent que jamais plus un pays comme la France ne pliera sous l’effet de la violence. La

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Et le black bloc vit le jour…

Le tout premier black bloc – qui est une tactique de rassemblement et d’autoprotection de ces membres – vit certainement le jour le 31 janvier 1981 en Allemagne de l’Ouest lors d’une manifestation contre la construction de la centrale nucléaire de Brokdorf, connue sous le nom de Kernkraftwerk Brokdorf (KKB). Toujours dans les années 80,

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