Derrière cette photo se cachent des femmes et des hommes qui ont fait le choix de nous protéger. Décriés et insultés par certains, ces policiers de la BRAV-M sont très souvent les premiers à intervenir lorsque les choses tournent mal. Ils plongent alors dans l’inconnu pour affronter la violence dans son plus simple appareil.
Dans mon roman #ÉPÉUS, ce sont ces policiers de la BRAV-M qui affrontent en premier, arme à la main, un mystérieux groupe qui s’est engouffré dans l’hôtel De Crillon place de la Concorde.
Il ne fait aucun doute que tous les citoyens qui cherchent à vivre en paix ne peuvent être que rassurés d’être protégés par ces policiers de la compagnie d’intervention de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC). Les « citoyens » qui quant à eux sèment le chaos savent qu’ils ne peuvent pas se livrer à leurs exactions sans faire face à une réponse très rapide des forces de l’ordre.
Pour conclure, que ceux qui bafouent le code déontologique de la police et de la gendarmerie nationale soient sanctionnés comme il se doit. Mais ce n’est pas une poignée de contrevenants qui doit jeter l’opprobre sur des femmes et des hommes qui nous protègent au quotidien.