Le 21 août marque la Journée internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme. Loin des projecteurs, ces hommes, ces femmes et ces enfants ont vu leur vie brisée par des actes de haine insensée. Derrière chaque attaque, ce sont des destins fauchés, souvent dans l’anonymat, qui méritent d’être honorés avec dignité et mémoire.
Des victimes souvent oubliées
Ils n’avaient pour seul tort que de se trouver là, au mauvais moment. Les victimes du terrorisme ne choisissent pas leur sort. Elles sont frappées par des balles, des bombes, ou des attaques sauvages orchestrées par des êtres pour lesquels l’humanité n’existe plus.
Face à l’horreur, les terroristes n’ont ni visage, ni âme. Ils incarnent une violence brute, déshumanisée, qui laisse derrière elle des cicatrices visibles et invisibles, personnelles et collectives.
Un devoir de mémoire collectif
En cette journée du 21 août, il est essentiel de se souvenir de toutes les victimes, connues ou anonymes. Chaque nom, chaque visage, chaque histoire rappelle que le terrorisme ne détruit pas seulement des vies, mais aussi des familles, des communautés, des sociétés entières.
Le souvenir est une arme contre l’oubli. Il est un acte de résistance face à ceux qui cherchent à semer la peur et le chaos.
Une condamnation sans équivoque
« Les actes de terrorisme ne peuvent jamais se justifier, quelle que soit la raison que l’on puisse faire valoir », déclarait Kofi Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies, le 14 septembre 2001.
Ces mots conservent toute leur force aujourd’hui. Face au terrorisme, il ne saurait y avoir ni relativisme ni complaisance. Seule une condamnation ferme, unanime, peut honorer véritablement la mémoire des victimes.
Une pensée pour toutes les victimes
En ce 21 août, toutes mes pensées vont à toutes celles et ceux dont la vie a été brutalement arrachée par la haine. À leurs proches, à ceux qui restent debout malgré l’indicible douleur, va notre solidarité indéfectible.
La mémoire est leur rempart. Notre engagement est leur hommage.