Le 23 mars 2018, le colonel Arnaud Beltrame prenait une décision que peu d’hommes auraient eu la force de prendre. En se substituant à une otage lors de l’attaque terroriste de Trèbes, il a volontairement mis sa vie en jeu pour sauver celle d’autrui. Il succombera à ses blessures le lendemain, le 24 mars.

Un geste d’une bravoure absolue

Ce que le colonel Beltrame a accompli ce jour-là n’est pas un simple acte de courage. C’est l’incarnation de la bravoure au sens le plus noble du terme.

Bravoure ne signifie pas absence de peur.
Elle signifie agir malgré la peur, parce que l’exigence morale, le devoir et l’humanité l’imposent.

Un engagement au service de tous

Arnaud Beltrame n’a pas seulement agi en gendarme.
Il a agi en serviteur de la République,
En protecteur de ses concitoyens,
En homme guidé par l’amour de son pays et le respect de la vie humaine.

Son geste est devenu un symbole : celui de ceux qui, au quotidien, s’engagent au péril de leur vie pour en sauver d’autres.

Un nom qui doit vivre dans notre mémoire collective

Il est de notre responsabilité collective de faire vivre le souvenir d’Arnaud Beltrame.
De transmettre son histoire.
D’expliquer son choix.
Et de rappeler que la France compte, parmi ses enfants, des femmes et des hommes capables d’un tel sacrifice.

🎖️ Que son nom ne soit jamais oublié.