Le 13 novembre 2015 restera à jamais gravé dans la mémoire de ceux qui chérissent la liberté d’aimer, de vivre et de penser librement.
Ce jour-là, la haine a frappé sans distinction, tentant de réduire au silence les aspirations les plus nobles de l’humanité.
Cette date est aussi celle du souvenir pour toutes les victimes innocentes, pour tous ceux qui ont vu leur vie brisée et pour ceux qui, survivants, portent encore aujourd’hui les stigmates visibles ou invisibles de cette monstruosité.
Mais le 13 novembre 2015 ne sera jamais celui du pardon.
Car il n’est pas possible de pardonner à ceux qui ont choisi d’assassiner la vie, l’espérance et la liberté. Face à la barbarie, il n’y a ni oubli, ni absolution.
Se souvenir, c’est refuser l’oubli. Se souvenir, c’est défendre la liberté.