Juifs, musulmans, catholiques, bouddhistes, athées… Peu importe nos croyances ou nos origines : au fond, nous poursuivons tous un même but — vivre en paix, en sécurité, et en harmonie.

Ce rêve universel, trop souvent brisé

Cet idéal est beau. Il est partagé. Il semble si simple.
Et pourtant, il est régulièrement fracassé. Par quoi ? Par qui ?
Par la peur.
Par l’ego.
Par la soif de pouvoir.
Par l’homme lui-même.

Ce sont rarement les convictions qui divisent. C’est ce qu’on en fait.

L’humanité doit repenser ses priorités

Pendant que nous rivalisons pour conquérir Mars, perfectionner des intelligences artificielles ou épuiser les ressources de notre planète, nous oublions l’essentiel : apprendre à vivre ensemble.

Avant de bâtir des mondes artificiels, commençons par consolider le nôtre.

Notre priorité collective devrait être :

  • d’enseigner le discernement entre le bien et le mal,
  • de faire primer la paix sur l’ambition,
  • de placer le respect avant l’influence.

Dire non aux semeurs de division

Il est temps de rejeter ceux qui :

  • entretiennent la peur de l’autre,
  • divisent pour régner,
  • polluent les consciences,
  • détruisent l’harmonie sociale.

Car oui, nous sommes des êtres humains, capables de raison, d’écoute et de dignité.
Et non, nous ne sommes pas naïfs.

Les manipulations politiques, les stratégies de peur et les jeux d’influence finiront par se voir. Et ce jour-là, les empires idéologiques construits sur la manipulation s’effondreront.

Personne ne souhaite l’insécurité pour ses proches

Je n’ai jamais croisé une seule personne souhaitant à ses enfants ou à ses proches une vie marquée par l’insécurité — qu’elle soit physique, psychologique ou morale.

Alors pourquoi la tolérer pour les autres ?

Revenir à l’essentiel

Et si l’on recommençait par là ?
Par le respect,
Par la simplicité,
Par le vivre-ensemble,
Par le bon sens,
Par la paix comme projet commun.

Ce ne serait peut-être pas spectaculaire.
Mais ce serait juste, durable, profondément humain.