Le 25 novembre n’est pas une date anodine. C’est celle du combat contre un fléau silencieux qui ravage des vies : les violences faites aux femmes.
Un combat que nous devons mener sans relâche, sans compromis, sans détour.
Aucune justification n’est acceptable
Rien, absolument rien, ne peut excuser :
- Les coups portés contre une femme
- Les mots qui blessent aussi sûrement que des coups
- Les regards de mépris ou les humiliations sourdes
Aucune situation, aucun prétexte ne saurait légitimer qu’un homme, s’arrogeant une fausse toute-puissance, transforme sa colère ou son mépris en souffrance infligée à une femme.
Un fléau aux conséquences dévastatrices
Ces violences, qu’elles soient :
- Physiques
- Psychologiques
- Économiques
brisent des vies, détruisent des familles, étouffent les rêves.
Mais elles ne doivent pas annihiler le courage de se relever, de dire NON, de dire STOP.
Un appel à la résistance et au courage
À toutes les femmes victimes de violences, ces mots s’adressent directement :
Dressez-vous. Refusez l’inacceptable. Ne laissez jamais quiconque vous voler votre dignité, votre intégrité, votre avenir.
- Dénoncez ces actes
- Cherchez du soutien
- Luttez pour vous-mêmes et pour celles qui viendront après vous
Votre combat est juste, votre voix est précieuse, votre vie est inestimable.
La responsabilité collective
À tous ceux qui se taisent, détournent le regard ou minimisent l’horreur, il faut le rappeler : l’indifférence nourrit la violence.
Être témoin silencieux, c’est devenir complice involontaire.
Nous avons tous le devoir de :
- Écouter
- Protéger
- Agir
Car la violence est un crime et elle ne doit jamais être étouffée par le silence.
Conclusion
Rien ne peut justifier la violence. Rien.
La lutte contre les violences faites aux femmes est l’affaire de toutes et de tous.
Ensemble, refusons l’aveuglement et l’inaction. Ensemble, brisons le cycle de la peur.
En France, toute femme en détresse peut appeler le 3919 : un service gratuit, anonyme, et disponible pour celles qui ont besoin d’aide.