À l’approche des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, trois figures emblématiques de la sécurité intérieure s’apprêtent à entrer en scène. Simon Riondet (BRI), Ghislain Réty (GIGN) et Guillaume Cardy (RAID) portent sur leurs épaules une mission essentielle : protéger la fête mondiale contre toute menace.
Difficile de dire lequel serait Athos, Porthos ou Aramis. Mais sur cette photo, de gauche à droite, se tiennent trois chefs incontestés : Simon Riondet, patron de la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI), Ghislain Réty, patron du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), et Guillaume Cardy, patron de la Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion (RAID).
Ces unités, célèbres pour leur professionnalisme et leur sang-froid, ont souvent été confrontées à la violence extrême. Elles sont devenues les symboles silencieux du courage face à la barbarie.
Le 26 juillet, jour de la cérémonie d’ouverture, ces trois groupes d’intervention auront pour tâche de sécuriser les points névralgiques du dispositif olympique. Et si l’impensable devait survenir, ils seraient en première ligne pour neutraliser toute menace.
Avec eux, des centaines de policiers et de gendarmes, formés à l’excellence, mobiliseront leur expertise pour que cet événement planétaire se déroule dans les meilleures conditions.
Être à la tête de telles forces impose des qualités humaines et professionnelles hors normes. Modestie, intelligence, courage, empathie, dévouement : autant de vertus indispensables pour commander dans l’urgence, sous pression, en gardant toujours une vision lucide et déterminée.
Ces hommes incarnent un commandement à la fois discret et exemplaire, au service de la protection de tous.
« Un pour tous, tous pour un ». Plus qu’une devise, c’est une réalité pour ces unités d’élite, où la cohésion, la solidarité et le sens du devoir sont les clefs de chaque engagement.
Leur présence est une promesse silencieuse : celle que, quoi qu’il arrive, ils répondront avec force et dignité.