La violence n’a pas de couleur, de religion, et encore moins de nationalités. Qu’elle soit physique ou verbale, elle n’a pour seul objectif que de déchirer des chairs ou briser des esprits. La violence a toujours été l’arme des sots.

La violence est toujours vicieuse, tout autant que ses artisans pour qui elle est un moyen d’expression faute de pouvoir argumenter et débattre.

Au fil des années, la violence que nous connaissons aujourd’hui s’est libéralisée, devenant pour de trop nombreux individus un moyen d’exister, et pour certains, de se faire soi-disant respecter.

Mais, plus que tout, la violence est le premier symptôme d’une société malade qui sombre dans la torpeur. Dans une société civilisée, rien ne devrait pouvoir justifier son emploi. Hélas, nous ne sommes que des êtres humains avec une vision de notre propre monde, de nos codes, mais également de nos stratégies conscientes ou inconscientes.

La violence est et restera à jamais une spirale infernale de laquelle personne n’est jamais sorti vainqueur. Jamais la violence ne permettra à l’homme de grandir, car seuls les mots, l’écoute et l’empathie en sont capables.

« Je m’oppose à la violence parce que lorsqu’elle semble engendrer le bien, le bien qui en résulte n’est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent. » – Gandhi