Créée en 2023, la Direction nationale de la police judiciaire (DNPJ) est l’un des piliers de la sécurité intérieure en France. Placée sous l’autorité du ministère de l’Intérieur, elle succède à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et incarne l’élite de l’enquête judiciaire.

Une mission : combattre les formes les plus graves de criminalité

La DNPJ intervient sur l’ensemble du territoire national, avec pour vocation de prévenir et réprimer les infractions les plus complexes et les plus menaçantes pour l’ordre public.

Ses missions prioritaires incluent :

  • la lutte contre la criminalité organisée,
  • le terrorisme,
  • la cybercriminalité,
  • la criminalité financière,
  • la traite des êtres humains,
  • les disparitions inquiétantes,
  • et les violences graves.

Des enquêteurs d’élite, rigoureux et déterminés

Les femmes et les hommes de la DNPJ sont formés pour mener des investigations longues, techniques et sensibles, souvent en coopération avec des partenaires internationaux comme Interpol ou Europol.

Leur efficacité repose sur :

  • une maîtrise parfaite des méthodes d’enquête,
  • une capacité à analyser les moindres indices,
  • et une détermination sans faille à neutraliser les réseaux criminels.

Des résultats concrets : deux arrestations majeures en 2025

Parmi les affaires récentes qui témoignent du savoir-faire de la DNPJ :

  • Mohamed Amra, narcotrafiquant notoire, arrêté en Roumanie le 22 février 2025, après plusieurs mois de cavale.
  • Antonio Ferrara, figure du grand banditisme français, interpellé en Belgique le 27 février 2025, alors qu’il préparait un nouveau braquage.

Ces interpellations illustrent la capacité des enquêteurs à remonter des filières tentaculaires et à agir avec précision, même à l’international.

Un message clair aux criminels

La DNPJ ne relâche jamais la pression. Chaque affaire, chaque indice, chaque recoupement compte.

Le temps joue en faveur des enquêteurs.
Et pour ceux qui pensent pouvoir échapper à la justice, un seul rappel s’impose : ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils ne tombent dans les filets de la police judiciaire.