Plonger dans l’esprit d’un militant de l’ultragauche, c’est comprendre une logique de haine et de chaos méthodiquement assumée.

Une haine méthodique contre l’ordre républicain

« Je hais la police, les gendarmes, l’autorité. Je hais cette République et ce pays. »
Dans l’univers mental d’un activiste de l’ultragauche, tout est prétexte à la destruction. Le projet n’est pas seulement de manifester une colère : il est de renverser l’ordre établi par la violence systématique.
Leur arme principale ? Ce qu’ils appellent eux-mêmes la « stratégie du harcèlement » : frapper, casser, et surtout, se victimiser dès qu’ils subissent une riposte.

La violence comme unique horizon

Derrière les slogans et les fumigènes, la réalité est brutale. Les combats de rue sont pensés, organisés, et assumés comme un véritable champ de bataille. Boules de pétanque, marteaux, pavés, cocktails Molotov : tout devient arme pour blesser, mutiler, tuer.
Dans cet univers où « un bon flic est un flic mort », les pires exactions ne sont plus des dérapages mais des objectifs.
Et même lorsqu’un drame survient, certains dans les hautes sphères n’expriment qu’un silence complice, préférant détourner le regard.

Une guerre sans règles contre une démocratie entravée

L’avantage des activistes radicaux est simple : l’absence totale de règles. Là où policiers et gendarmes doivent respecter des protocoles stricts, eux n’ont aucune limite.
Protégés par la lenteur judiciaire et une indulgence idéologique persistante, ils poursuivent leur entreprise de destruction avec une agilité redoutable.

Dans cette asymétrie glaçante, la démocratie, prisonnière de ses principes, est en danger.
Car face au désordre organisé, seules la fermeté et la restauration de l’autorité permettront d’éviter l’embrasement général.

Il est temps de sortir de cette logique de haine et de chaos.