La mort est silencieuse et sournoise et déchire les corps.
Mais la mort dans sa cruauté est incapable d’attraper les âmes lorsqu’elle frappe ceux qui ont su marcher la tête haute dans l’ombre ou la lumière.


Nul doute que la mort n’a pas attrapé l’âme du Capitaine Jérôme Favier et nul doute aussi qu’elle a su trouver le chemin pour rejoindre ses camarades du groupe et beaucoup d’autres.


Mes plus sincères condoléances à sa famille, ses amis et camarades du GIGN.