C’est avec effroi et une profonde tristesse que j’apprends le décès tragique de Louise. Son prénom vient, hélas, s’ajouter à une liste bien trop longue de victimes de prédateurs en tout genre.
En écrivant ces mots, je pense à ses parents, à sa famille et à ses proches, anéantis par l’incompréhension et la douleur.
La lutte contre toutes les formes d’insécurité est un défi national qui doit aller bien au-delà des déclarations tonitruantes et des postures de circonstance.
Lutter contre l’insécurité, c’est protéger des vies, c’est redonner de l’espoir à ceux qui l’ont perdu, c’est tendre une main protectrice aux plus vulnérables.
C’est aussi agir pour que des familles ne sombrent pas dans les abysses du chagrin.
Toutes mes pensées accompagnent la famille de Louise et ses proches.