✈️ Le 24 décembre 1994, le vol Air France 8969, au départ d’Alger et à destination de Paris, devient l’épicentre d’une crise internationale. À bord de l’Airbus A300 immobilisé à l’aéroport d’Alger, 227 passagers et 12 membres d’équipage tombent aux mains de quatre terroristes du Groupe Islamique Armé (GIA), déterminés à transformer cet Airbus en une arme de destruction massive. L’enquête démontrera que l’objectif final des terroristes était très probablement d’écraser l’appareil contre la Tour Eiffel, en plein cœur de Paris, afin de semer chaos et désolation.
🚨 Dès les premières heures du détournement, les autorités algériennes refusent fermement de céder aux exigences des preneurs d’otages, qui réclament le décollage immédiat de l’avion vers Paris ainsi que la libération de plusieurs dirigeants du Front Islamique du Salut (FIS). Ces refus marquent le début d’une escalade dramatique. Les terroristes abattent froidement trois otages : un policier algérien, suivi de Bui Giang To, attaché commercial vietnamien en poste à Alger, puis Yannick Beugnet, chef cuisinier de l’ambassade de France.
⏳ Pendant 54 heures, les négociations s’enlisent, et la tension atteint son paroxysme. Le 26 décembre, l’avion obtient finalement l’autorisation de quitter Alger pour l’aéroport de Marseille-Marignane. Sur place, les opérateurs du GIGN se préparent pour un assaut d’une complexité exceptionnelle.
⚔️ Le 26 décembre à 17h12, le « top assaut » est donné par le commandant du GIGN hashtag#DenisFavier. En direct sur les écrans de LCI 📺, la France entière retient son souffle. Les hommes du GIGN, tels des chevaliers modernes 🛡️sur leurs montures d’acier, se lancent à l’assaut de l’Airbus, armés d’un professionnalisme sans faille et d’une détermination inébranlable. La bataille qui s’ensuit est d’une intensité extrême : près de 1000 munitions sont tirées dans un combat rapproché, où chaque seconde compte.
⏱️ À 17h29, après 17 minutes d’un affrontement acharné, les terroristes sont neutralisés. Les 229 otages sont libérés (16 blessés), un miracle rendu possible par le sang-froid et la précision des opérateurs du GIGN. Neuf d’entre eux sont blessés, mais l’opération est un triomphe.
💪 Le courage au cœur de l’enfer 💥
🔥 Intervenir dans une situation aussi périlleuse dépasse la simple bravoure. Cela requiert une foi inébranlable en sa mission et un engagement total pour préserver les vies humaines. Ce jour-là, et plus que jamais, les membres du GIGN ont démontré que, face à l’horreur, la lumière du devoir pouvait triompher.
Grâce à leur sacrifice et à leur compétence, une tragédie d’une ampleur inimaginable a été évitée. Le 26 décembre 1994 restera à jamais gravé dans la mémoire collective comme le symbole de l’excellence au service de la Vie.
Merci à tous les héros « sans visage » du GIGN pour leur sacrifice et leur courage. 🙏
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