En ce 1er mai, toutes mes pensées vont aux invisibles du monde moderne qui plongent dans des mines pour en extraire des terres rares ou qui encore assemblent nos téléphones portables et autres vêtements dans des contrées lointaines.
Toutes ces personnes ne travaillent pas pour vivre, mais pour survivre et le plus souvent dans des pays où le mot dictature à tout son sens.
Contrairement aux Anarchistes qui “s’expriment” en démocratie, toutes ces pauvres personnes ont effectivement « un maître et un Dieu ». Le maître pour les pousser à la tâche et le Dieu pour les aider à rêver une vie meilleure.