Les policiers de la BRAV-M (Brigade de Répression de l’Action Violente Motorisée) sont toujours parmi les premiers à intervenir lorsque la violence éclate.
Face à l’inconnu, ils s’engagent sans hésitation pour affronter des situations souvent imprévisibles et dangereuses. Leur engagement est total, leur courage indéniable.
Un hommage à travers la fiction
Dans mon roman ÉPÉUS, ce sont précisément des policiers de la BRAV-M qui affrontent, arme à la main, un mystérieux groupe ayant pris d’assaut l’hôtel de Crillon, place de la Concorde. À travers ce passage, j’ai souhaité rendre hommage à ces unités d’intervention qui plongent chaque jour au cœur du chaos pour défendre nos libertés.
Une réponse rapide et déterminée
Pour tous ceux qui aspirent à vivre en paix, savoir que des compagnies d’intervention comme la BRAV-M existent est une source de réconfort. Ces policiers sont un rempart contre ceux qui cherchent à semer le désordre et la violence dans nos rues.
Pour les fauteurs de trouble, leur présence est un rappel que la République n’abandonne pas ses citoyens à la loi du plus fort.
Respecter les forces de l’ordre sans naïveté
Il est impératif que tout manquement au code déontologique de la police nationale et de la gendarmerie soit sévèrement sanctionné. La loyauté envers l’institution impose l’exemplarité de ses membres. Mais il est injuste qu’une poignée d’individus dévoyés jette le discrédit sur des milliers de femmes et d’hommes qui, chaque jour, risquent leur vie pour nous protéger.
La reconnaissance de leur engagement est un devoir citoyen. Leur honneur est aussi celui de la République.