Les quatre lettres ACAB, criées ou taguées avec rage, sont devenues le symbole d’une frange de la société qui a perdu toute notion de discernement et d’honneur.
La réalité oubliée derrière l’uniforme
Que reste-t-il de la reconnaissance envers ces policiers qui, chaque jour, se jettent à l’eau, parfois au sens propre, pour sauver des vies ?
Que reste-t-il du respect pour ceux qui côtoient quotidiennement la mort, la détresse humaine, et les visages les plus sombres de notre société ?
À entendre certains anarchistes, chauffés à blanc par des idéologues en quête de pouvoir, ces sacrifices n’existent pas. Leur haine aveugle efface d’un trait de plume l’engagement de milliers d’hommes et de femmes.
Être policier : un engagement au service de tous
Être policier, c’est bien plus qu’un métier. C’est choisir de s’engager au service de l’ensemble de la population, avec tout ce que cela implique de courage, d’abnégation et parfois de solitude.
Que quelques individus dérapent dans l’exercice de leurs fonctions est une réalité, comme dans toutes les professions. Mais réduire toute une institution à ces exceptions est non seulement injuste, mais profondément dangereux pour la cohésion nationale.
Soutenir ceux qui protègent notre société
Dans un monde où les forces de l’ordre sont souvent prises pour cibles, soutenir nos policiers, nos gendarmes, nos militaires, ainsi que toutes celles et ceux qui nous protègent et nous servent, n’est pas un choix : c’est un devoir citoyen.
Sans eux, il n’y aurait plus de sécurité, plus de paix, plus de République.
Refuser de sombrer dans la haine systématique, c’est choisir de défendre l’essentiel : notre liberté et notre sécurité.